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Exposition collective 

Restitution

9 octobre-3 novembre 2019

flyer Restitutions recto.jpg

Le Silence du Monde qu’est ce que c’est?


La naissance de l’association «Studio M.A.E.S.- le Silence du Monde» et surtout du projet de résidence d’artistes qu’elle anime fait suite au décès de Jean-Claude MAES en 2013, artiste belge multi-média: peinture, images animées, scénographie, céramique, qui souhaita que sa maison-atelier de Saint- Vincent de Durfort promeuve la création contemporaine interdisciplinaire en y invitant en résidence de jeunes artistes ou des artistes confirmés de différentes disciplines.


L’association portant le projet de résidence d’artiste, est expressement intitulée «le silence du monde».


La résidence d’artistes et d’auteurs se veut avant tout un lieu de
production. La maison qui fut conçue et aménagée essentiellement pour l'activité plastique, adossée à un atelier de céramique bien équipé, peut donner toute l’ampleur nécessaire à un séjour de création concentré et fécond.


Osons vanter le respect de l’identité de l’artiste pour vanter le respect de l’identité du territoire !


Osons la créativité, la sincérité de l’artiste, pour relever l’authenticité d’un terroir !


Osons Le Silence du Monde pour découvrir la petite musique d’un lieu de résistances et d’engagements !

Laurent-Marie Joubert

président de l'association Le Silence du Monde

Exposition collective à 16 artistes:

Benjamin L. Aman

Marion Auburtin

Hélène Bleys

Jeannie Brie

Estelle Chrétien

Julie Freichel

Damien Gete

Sebastien Gouju

Claire Hannicq

Hippolyte Hentgen

Laurent-Marie Joubert

Sophie Lamm

Lasdada

Anne-Emilie Philippe

Clément Richem

David Rodriguez Diaz

Performances lors du vernissage
le 05.10.19


Lignes et mouvements, performance dansée par Lasdada.


Parcours santé, Jeannie Brie, Julie Freichel, Damien Gete.

Performance audiovisuelle par Temps Partiel, un collectif de
trois artistes (Chanmax et JJ Fresh de Brie) expérimentant la relation texte,
image et son au travers de performances audiovisuelles.
La musique électronique est prise comme un prétexte, comme un
outil ou une passionnante blague. Permettant des boucles entêtantes ; des
bidouillages tordants et des collages sonores imprévus, c’est sans prétention
mais avec ironie que les machines ont le soin d’organiser la musique et
d’émettre les sons.
C’est avec joie et grand appétit que les sons nous font passer
radicalement d’un paysage à un autre, d’une ambiance cosmique à des phases
colériques permettant quelques danses au hasard d’une ballade enivrante.

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